Ambiance seventies mardi 23 octobre à la Maroquinerie (Paris) avec le trio néerlandais DeWolff en tournée européenne après la sortie de son 8e album Thrust en mai dernier. Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce groupe, DeWolff est composé de deux frères, Pablo (chant/guitare) et Luka (batterie) Van De Poel, et d’un organiste, Robin Piso. Pas de bassiste donc pour cette formation très seventies mais cette absence est largement compensée par la présence de l’orgue Hammond. Si les influences du groupe sont clairement du côté de Jimi Hendrix, Led Zeppelin ou les Doors, ils réussissent à donner un souffle nouveau à leur musique et le résultat est bluffant. Très belle découverte que ce groupe talentueux et hyper charismatique, dans son élément sur scène. Avec leur look très seventies et leur chevelure en mouvement, ils nous offrent un saut dans le passé, à une époque où la créativité musicale était à son apogée, où le peace and love essayait de s’imposer, où les femmes découvraient la liberté sexuelle, une époque où tant de choses étaient possibles y compris, malheureusement, succomber aux paradis artificiels et s’envoler trop tôt. Mais je m’égare ! DeWolff a offert au public multigénérationnel de la Maroquinerie une soirée enchanteresse.
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Merci à Roger & Base Productions pour l’accréditation.
Setlist :
- Big Talk
- Love Dimension
- Sugar Moon
- Medicine
- Tombstone Child
- Easy Money
- Sometimes
- Restless Man
- Satilla No. 3
- Tired of Loving You
- Deceit and Woo
- Don’t You Go Up the Sky
Prenez le temps de jeter un oeil (et surtout une oreille !) à la vidéo ci-dessous et d’apprécier toute la puissance de DeWolff en live, accompagné, cerise sur le gâteau, de trois choristes malheureusement absentes à la Maroquinerie.