L’American Tours Festival, c’est LE festival 100% culture U.S., où chacun peut vivre son propre rêve américain ! Un évènement à ne pas rater les 5, 6 et 7 juillet prochains à Tours
Le temps d’un week-end, chaque visiteur peut vivre à l’heure américaine dans un décor typiquement U.S avec des univers emblématiques comme le Rock & Vintage, la Moto & Kustom, la Country, le Rodéo & Western, Venice Beach et Sunset Club (Nouveautés 2019).
Le festival en quelques chiffres : 19 hectares, 4 scènes, 30 concerts, 25 000 festivaliers/jours, 2 000 motards en Harley Davidson, mais aussi côté technique 40 techniciens pendant 15 jours, 10 semi-remorques pour 30 tonnes de matériel, 2 écrans géants et un énorme show lumière et vidéo mais surtout un MINI-PRIX pour un événement de cette ampleur !! 62 euros le pass 3 jours (place debout) et 89 euros en place assise (3 000 places en gradin pour la Main Stage). Et gratuit pour les enfants de moins de 12 ans !!
Mercredi 22 mai, au Balajo, lieu emblématique des nuits parisiennes, Christophe Caillaud-Joos, directeur général de Tours Evénements, a fait le déplacement à Paris accompagné de son équipe pour présenter l’événement du début de l’été en plein coeur de la Touraine, le festival qui vous plonge dans le rêve américain : l’American Tours.
Christophe Caillaud-Joos nous explique : « le festival évolue d’année en année et préfigure ce que vont être demain les grands festivals, pas simplement des scènes musicales mais une immersion dans un univers complètement dans le coeur du festival. Le choix fait aujourd’hui est celui d’un festival 100 % culture US. Nos festivaliers ont un fantasme de l’Amérique. Certains n’y sont jamais allés, d’autres en rêvent et on leur offre, au coeur de la France, dans un territoire exceptionnel, sur 19 hectares, un truc fou qui va du western à la country, en passant par les bikers, des espaces, des univers où chacun va pouvoir piocher une partie de son rêve américain. C’est essentiel pour nous. On a une scène musicale assez riche. 75 % des festivaliers ne viennent pas de Touraine mais de toute la France ainsi que de l’étranger. Ils ont envie de se couper du monde pendant trois jours et on est là pour leur procurer ça. »
C’est au tour de Pascal, directeur concerts et spectacles, qui s’occupe de toute la partie artistique musicale, de prendre la parole : « on a des grandes têtes d’affiche mais aussi beaucoup de découvertes, de groupes qu’on a envie de faire connaître. Sur la grande scène le vendredi on a Scorpions, c’était un peu incontournable de programmer ce groupe cette année parce que ça fait deux ans qu’ils sont en tournée européenne et en France, nous étions les seuls à ne pas l’avoir programmé. Le samedi Knuckle Head, jeune duo qui va faire entrer un peu de renouveau dans le festival, Rival Sons, qui fait partie des groupes en plein essor et les Stray Cats, un événement dans la mesure où il n’y a que 4 dates en France, que c’est une reformation avec le groupe originel et avec un nouvel album donc avec une vraie actualité et en plus c’est les 40 ans de carrière. Cette année on a créé une nouvelle scène extérieure, la Eastern Stage, sur laquelle on aura The Chris Slade Timeline le vendredi, Yarol Poupaud le samedi, pour le dimanche on attend la confirmation. En première partie de ces artistes, on va privilégier des artistes locaux de la région de Tours pour s’ancrer encore plus dans le territoire local. »
La parole est donnée à Turky, chargé de la programmation de la scène rock : « j’essaie de faire découvrir des choses qu’on ne voit pas partout, on est assez européens sur la programmation avec aussi quelques américains. notre programmation remonte à peu près jusqu’aux années 60 et on a le plaisir d’accueillir des gens très attendus en France comme Sugar Ray Ford le vendredi soir qu’on n’a pas vu depuis plus de 20 ans, Raffi Arto, qui a participé à The Voice ainsi que la sœur de Jerry Lee Lewis, Linda Gail Lewis, le dimanche on a les Kokomo Kings, du blues, les racines du rock’n’roll. Un concours de danse est organisé le samedi, on a commencé y a quelques années c’était tout petit et maintenant c’est devenu le moment du festival où tout le monde veut être présent. »
Autre moment fort du festival, la Canadian Music Night, et c’est Franck, le bucheron de l’équipe, qui va nous en parler : « c’est la 11e édition et c’est quelque chose d’unique en France, voire même en Europe, de donner l’opportunité de jouer à des artistes country renommés, puisque tous les artistes programmés sont des têtes d’affiche dans leur pays. Cette année, en tête d’affiche, on a Aaron Goodvin, auteur compositeur connu au Canada avec un engagement aussi aux USA, seul artiste country à avoir eu deux singles consécutifs disques de platine. Il faut savoir que dans l’univers de la country les disques de platine sont rares. C’est vraiment un gage de qualité et de spécificité du niveau que l’on veut avoir au sein de la Canadian Music Night. En première partie on a les frères Abrams, des virtuoses du violon, 4e génération d’artistes dans cette famille. Un mot sur les Road Hammers qui joueront sur la Main Stage le vendredi. Peu connu en Europe, c’est le country rock band qui a vendu le plus de disques au Canada en 30 ans où ils sont des légendes. Leur musique country est semée de blues, de rock sudiste, ils font ce qu’on appelle la musique des truckers pour les routiers US, celle qu’on écoute dans les camions, une musique très endiablée et dynamique, c’est la raison pour laquelle ça donnait du sens de les proposer en première partie de Scorpions. Tours a le courage, l’aplomb, l’innovation, la créativité pour mettre en avant des artistes de différents milieux musicaux et créer une dynamique et une interactivité ».
Christophe, le directeur, reprend la parole pour nous en dire un peu plus sur la multitude d’activités proposées par le festival en dehors des concerts : « de la danse, country mais aussi line-dance avec son univers particulier d’énergie collective sur des musiques qu’on répète et danse ensemble, un espace western/rodeo extérieur avec des trucs incroyables, vous êtes dans le ranch de JR à Dallas avec des taureaux, des chevaux, des vaches etc, c’est dingue c’est à dire que vous n’avez pas besoin de prendre un avion pour aller au Texas vous y êtes. Des nouveaux halls. Le hall vintage parce que l’American Tours festival c’est aussi une grande boutique pour acheter le cuir qui va bien, manger le « vrai » hamburger avec des spécialistes du hamburger US ou savourer un milk shake dans un décor incroyable. Beaucoup d’exposants aussi pour pouvoir flâner, glaner, acheter le chapeau, les santiags et pourquoi pas une Harley. Le festival a un partenariat avec Harley Davidson, qui met en place une très grosse organisation car le rêve américain en France ne pouvait pas se faire sans Harley Davidson et globalement entre 2 000 et 3 000 bikers viennent au festival.
C’est donc au tour de Stéphane, responsable du H.O.G. (Harley Owners Group) France, de s’exprimer : « la première chose qu’on dit à nos concessionnaires c’est de faire rêver nos clients quand ils rentrent dans une concession. A l’American Tours on est plongé dans l’univers américain mais aussi dans différentes époques et toutes ces époques bien évidemment Harley les a traversées et on n’a pas eu beaucoup de difficultés à convaincre tous nos clients et nos bikers de venir faire la fête au festival. Il était évident qu’on y soit et qu’on y soit présents d’une manière assez forte. Nous y sommes avec nos modèles, avec l’ambiance qu’on va donner sur place, avec tous les préparateurs qui descendent aussi et vont présenter les plus beaux modèles qui puissent exister au niveau des Harley Davidson ».
Christophe reprend la parole : « on organise aussi un run sur tout le territoire avec des milliers de bikers qui font tout un tour, ça crée une énergie folle dans la ville, même si vous n’aimez pas la moto vous repartez avec l’envie d’en acheter une, une Harley forcément ! On peut tester, rêver, se prendre en photo. On a aussi des dizaines de voitures américaines. On veut donner à rêver. Cette idée d’aller voir des grands concerts, d’aller danser du rock, d’être sur la line dance, de voir comment on attrape et comment on monte un taureau, découvrir le camping-car des années 50, aller au bar de nos amis Jack Daniels qui est aussi un de nos partenaires, c’est vraiment l’alcool américain par excellence, vous arrivez le vendredi, en début d’après midi, à Tours, et à un moment donné c’est magique et on prend vraiment plaisir à voir des familles entières découvrir cet univers incroyable. Et tous les artistes qui viennent ont compris ça et sont extrêmement accessibles ».
Julien : « Nouveauté cette année, le festival s’ouvre à la culture ouest américaine, à la Californie, avec un nouvel univers, Venice Beach, avec tout ce que vous pouvez imaginer, bar de plage, sports, des low riders, les fameuses voitures modifiées qui sautent très répandues côté ouest américain. On a fait un club dans cet univers, le Sunset Club, où tous les gens pourront venir danser dans une ambiance vintage à la hawaïenne façon Elvis Presley, avec un bar géant au milieu et un parquet couvert qui nous avait été demandé par les festivaliers. »
Avant de se quitter, Christophe nous annonce en avant-première qu’en 2020, le festival commencera le 4 juillet, avec un concert spécial ce jour là (ndlr : le 4 juillet est le jour de la fête nationale aux Etats-Unis).
Un grand merci à toute l’équipe de l’American Tours de s’être déplacée à Paris pour nous présenter le festival.
Je ne peux que vous recommander d’aller fouiller sur le site officiel du festival pour découvrir la quantité incroyable d’activités proposées par l’American Tours. Il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous.
https://www.americantoursfestival.com/
Pour terminer, l’aftermovie de l’édition 2018 à regarder sans modération !