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Steven Wilson : de retour à Paris le 1er février 2016

Après avoir enchaîné les concerts archi complets au Café de la Danse, à la Cigale, au Trianon et à l’Olympia, le 1er février 2016, Steven Wilson jouera sur la scène du Palais des Congrès à Paris.

Son disque « Hand. Cannot. Erase«  est dans le top 3 des meilleurs albums de l’année 2015 dans les référendums de nombreux média spé. Mais la musique de Steven Wilson commence aussi à toucher un public plus large. Steven Wilson est un cas « à part » dans l’industrie du disque, ça démarche est unique.

Après avoir rempli l’Olympia en mars 2015, Steven Wilson sera de retour à Paris le 1er février 2016 pour un concert unique dans le cadre prestigieux du Palais des Congrès de la Porte Maillot. (voir les dates de la tournée à la fin de l’article)

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Chanteur, guitariste, compositeur, producteur et leader de Porcupine Tree – groupe phare la vague néo progressive – Steven Wilson mène une carrière solo exemplaire depuis plusieurs années maintenant. Folk, metal, trip hop, rock, disco, hiphop, post-punk et, bien sûr, progressif, ce musicien hors pair ne s’impose aucune limite lorsqu’il compose et interprète sa musique. Une démarche qui fait de lui un personnage unique, totalement indépendant (il a fondé Headphone Dust, son propre label) et tout à fait exceptionnel. Perfectionniste, il ne laisse jamais rien au hasard. Au-delà des notes, à travers ses pochettes, livrets et clips, il prend aussi grand soin de l’identité visuelle de ses œuvres qu’il confie à des artistes renommés en phase avec sa vision particulière des choses.

Grand fan de Frank Zappa, Wilson n’a malheureusement jamais pu collaborer avec son idole, mais, d’un disque à l’autre, il a tout de même travaillé avec des pointures telles que Tony Levin (King Crimson, Peter Gabriel), Steve Hackett (Genesis), Alan Parsons (Pink Floyd), Nick Beggs (Kajagoogoo), Chad Wackerman (Frank Zappa), Pat Mastelotto (Mr Mister, King Crimson), Jordan Rudess (Dream Theater), et l’extraordinaire guitariste Guthrie Govan.

Au-delà de sa passionnante carrière en solitaire et de Porcupine Tree (en sommeil depuis 2010), Steven Wilson est partie prenante dans différents autres projets musicaux aussi riches et différents les uns que les autres : No-Man (du trip hop avec des élément jazz et post-rock, en duo avec Tim Bowness), Blackfield (du rock alternatif en duo avec la star israélienne Aviv Geffen), Opeth (le groupe de death metal suédois qu’il a produit et mixé), Storm Corrosion (une musique ésotérique et folk avec le leader d’Opeth Mikael Akerfeldt), Bass Communion (un projet instrumental, expérimental et minimaliste), Incredible Expanding Mindfuck (une exploration inspirée du mouvement krautrock et du space rock).

Enfin, plusieurs légendes des 70’s n’hésitent à lui confier certains de leurs chefs-d’œuvres pour qu’ils soient remasterisés, voire remixés, par ce génie du son. Il a ainsi travaillé sur les rééditions des meilleurs disques de King Crimson, Jethro Tull, Yes, Gentle Giant, Emerson, Lake and Palmer, Caravan, Hawkwind, XTC ou Tears for Fears.

Dans le contexte musical actuel, Steven Wilson, fait sans doute figure d’OVNI. Sa passion et on approche atypique, font de lui un Artiste rare et attachant qui redonne une sorte espoir dans une certaine conception de la Musique… Ce concert du 1er février au Palais des Congrès s’annonce déjà comme un grand moment !

Les 28 et 29 septembre en 2015 Steven Wilson se produisait au Royal Albert Hall à Londres.

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Au sujet de « 4½ » (sorti le 8 janvier 2016) :

Produit et mixé par Steven Wilson lui-même, « 4½ » a été réalisé avec la contribution du pianiste de jazz fusion Adam Holzman, de l’as du chapman stick Nick Beggs (Peter Gabriel), des guitaristes Guthrie Govan (Asia, Hans Zimmer) et Dave Kilminster (Roger Waters, John Wetton), des batteurs/percussionistes Marco Minnemann, Chad Wackerman (Frank & Dweezil Zappa, Allan Holdsworth, Steve Vai), Craig Blundell (Pendragpon et du saxophoniste Theo Travis (Robbert Fripp, Gong, Soft Machine Legacy). A noter que ce disque comprend une  réinterprétation du titre de Porcupine Tree « Don’t hate me », en duo avec Ninet Tayeb qui avait déjà participé à l’album « The Hand. Cannot. Erase ».

Disponible en trois éditions : digipak 6 titres, vinyle 180g (tirage ultra limité) et en Blu-Ray (bonus : mix en 5.1 de l’album + nouvelle version de « Lazarus », un autre titre de Porcupine Tree)

TOURNÉE EUROPÉENNE 2016

29-Jan-16 : Manchester / O2 Apollo

30-Jan-16 : Newcastle / City Hall

01-Feb-16 : Paris / Palais De Congres

03-Feb-16 : Tilburg / 013

04-Feb-16 : Groningen / De Oosterpoort

05-Feb-16 : Copenhagen / Koncerthuset

07-Feb-16 : Bergen / USF Verftet

09-Feb -16 : Stockholm / Annexet

11-Feb-16 : Tampere  / Pakkahuone        

12-Feb-16 : Helsinki  / TheCircus

13-Feb-16 : St Petersburg / Cosmonvart

15-Feb-16 : Moscow / Yotaspace Club
 

 

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