Le power trio de Brooklyn fait du métal à l’ancienne, en s’inspirant des grands noms qui les ont précédés pour créer quelque chose d’immédiatement familier, mais avec une énergie nouvelle et moderne. Sur ce morceau particulier, la chanteuse et bassiste Erica Stoltz explique : « La pandémie a mis en veilleuse les excès débridés de l’humanité. La référence est un jeu de mots sur le terme « correction » utilisé en économie. La comparaison se fait entre la lenteur de la mort globale par virus et d’autres destructeurs instantanés créés par l’homme comme les bombes atomiques. »
Complété par Jeremy Sosville à la guitare et Nathan Honor à la batterie, le groupe déclare : « À une époque où le monde qui nous entoure semble en feu, où nos héros du heavy metal commencent à disparaître à cause de leur santé défaillante ou de l’évolution des normes sociales, nous, SANHEDRIN, nous tenons ici comme une lumière brillante dans l’obscurité. Nous sommes prêts à faire flotter le drapeau du heavy metal en ces temps difficiles et incertains et nous commençons à peine à montrer au monde ce dont nous sommes capables ».
SANHEDRIN se produira dans des festivals en Europe et aux États-Unis cette année, avec des tournées en bonne et due forme en préparation des deux côtés de l’Atlantique.
SANHEDRIN News/ Nouvel album « Lights On » le 4 mars via Metal Blade Records
