C’est bien connu les chiens ne font pas des chats… Pas étonnant donc que Trev Lukather, le fils de Steve Lukather (guitariste, chanteur et membre fondateur de Toto), soit lui-même devenu un musicien hors-pair. Avant de former LEVARA, il s’était déjà fait remarquer sur « Comin’ Hot » le premier album de Diamante, en tournée avec What So Not, ou en co-signant le hit de Halestorm “Love/Hate Heartbreak”. Originaire de Bournemouth, en Angleterre, le batteur Josh Devine est connu pour avoir joué aux quatre coins de la planète avec One Direction. On le retrouve d’ailleurs sur deux de leurs DVD live. De son côté, le chanteur Jules Galli est… Français… après avoir immigré en Floride, il s’est finalement installé en Californie, là où tout a commencé pour LEVARA. Cette union entre un américain, un anglais et un français s’est avérée plus que fructueuse. Tous trois amateurs de « classic rock », ils ont su conjuguer leurs multiples influences avec des touches suffisamment modernes pour donner à leurs chansons une énergie communicative parfaitement retranscrite par les images de ce premier clip où les musiciens sont loin de se prendre au sérieux. Si par les temps qui courent, le rock en général et les guitares en particulier, n’ont plus vraiment la place qu’ils mériteraient sur les ondes, les membres de ce que l’on pourrait désormais considérer comme les nations unies au service du rock n’hésitent pas une seconde à partager leur enthousiasme. Il se dégage de ce disque un dynamisme pur, frais et positif. Instinctivement la musique de LEVARA renoue avec ces hymnes intemporels inscrits pour toujours dans la mémoire collective. On pense alors aux plus grands noms du rock US et l’on se réjouit de pouvoir encore entendre/écouter des musiciens prêts à partager de tels moments avec le public. Produit par Ethan Kaufmann, le 1er album du groupe sera disponible au printemps 2021… à suivre…
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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