Le Vasco propose une musique transgressive et pixellisée, qui emporte dans une autre dimension où le virtuel questionne la réalité, et où les visions du futur et du passé se mélangent.
Dans ce monde, tout se connecte et s’emboite, se fait écho et miroir. Le Vasco y délivre une pop transgenre flirtant avec le R’n’b. Ensemble, en allers et retours entre les ordinateurs et les instruments, ils créent des paysages cosmiques sillonnés par la voix de Louise.
« Razorblade » est le 2ème extrait de leur mini album « La Transe Des Oiseaux » qui sortira le 13/01/2016 :
Razorblade parle de ce que c’est d’être un homme quand on se sent aussi une femme, et de ce que c’est d’être une femme quand on se sent aussi un homme. Inspirée du documentaire Paris is Burning, la chanson veut exprimer la fascination que peut exercer l’esprit du voguing, des balls, des concours de déguisement. Razorblade parle aussi du personnage d’Aya Yosemite, danseur-danseuse en 2D-3D. Une intelligence artificielle maîtresse des connexions internet et neuronales. Un portrait élogieux aux harmonies quasiment sacrées pour faire danser la House Of Ninjas.
Concerts :
15/12/2016 – La Maroquinerie avec Las Aves – Paris
En parallèle de la musique, Le Vasco développe un univers visuel intimement lié à leur processus de création. Né à travers leur collaboration avec le très secret Studio Polybius qui a co-réalisé leurs clips ainsi que leur identité visuelle, ils créent une réalité numérique unique, autour d’expériences de voyage crées et vécues collectivement.
Avec un live qui s’est déjà aiguisé sur de nombreuses scènes underground comme aux Transmusicales de Rennes, Le Vasco invite le public à être acteur de l’expérimentation au travers d’une proposition en renouvellement permanent .
