Influencés par les traditions Mariachi et Cumbia du Mexique tout en étant de véritables enfants d’un monde globalisé, 8 KALACAS représentent une nouvelle ère dans la musique rock et métal. Ce n’est plus une musique réservée aux Blancs. C’est une musique pour tous ceux qui se sentent à l’aise dans ces airs enivrants. D’où le nom de leur groupe, « calaca » signifiant crâne en espagnol. « Peu importe qui tu es, la couleur de ta peau, le type de personnes que tu aimes, en quel dieu tu crois, la pauvreté ou la richesse : quand tu meurs, la seule chose qui reste est le putain de KALACA. »
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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