Avec le monde en proie au chaos, la nouvelle musique exaltante est devenue plus importante que jamais. Par conséquent, l’émergence de STENGAH, un groupe de tech-metal, ne pouvait pas mieux tomber. Le quintette français a passé ces dernières années dans un état de perpétuelle évolution, armé de certains des riffs et refrains les plus viscéraux et avant-gardistes. A la fois palpitante et férocement intelligente, leur musique aspire à éclairer et à brutaliser dans la même mesure. A propos de la chanson, ils disent : « Above Inhumanity est une rêverie lugubre, un temps suspendu, où vous atteignez ce qui est au-delà de l’irrationnel. Un esprit fatigué abandonné à la folie, la vision et la sagesse réduites aux plus grandes peurs, luttant avec la version la plus sombre de soi-même. » La vidéo de « Above Inhumanity » met en scène l’histoire d’une jeune femme hantée par la représentation enfantine d’un fantôme – elle-même dans une dimension parallèle. Piégée dans une boucle temporelle, elle se réveille à nouveau pour trouver une bande de film contenant une vidéo inquiétante d’un fantôme qui la suit. Le projecteur vidéo s’avère être une passerelle entre les deux mondes. Ce récit inquiétant la voit se réveiller là où tout apparaît tel qu’il est réellement… Ils ajoutent : « C’est un récit onirique qui fait s’effondrer les royaumes spirituels et physiques. Une histoire où le chasseur peut être une proie, et la proie un monstre… » Fondé par le batteur Eliott Williame, STENGAH a le son, l’intelligence et l’ambition de pousser la musique lourde toujours plus loin dans le futur. Après des années d’évolution constante et d’attention méticuleuse aux détails, le groupe – complété par le bassiste Benoit Creteur, le guitariste principal Maxime Delassus, le guitariste rythmique Alexis Dewasch et le frontman Nicolas Queste – a affiné son son jusqu’à un état de perfection avant-gardiste. « La musique parle de (re)connexion avec soi-même », dit Eliott. « Elle parle des gens, de leurs peurs, de leurs croyances et de leurs philosophies. Comment parfois ces choses peuvent les guider, et comment parfois elles peuvent les aveugler. Il s’interroge, sans jugement, sur la bizarrerie et l’étrangeté des comportements sociaux et émotionnels des êtres humains. Il s’agit du pouvoir de croire, en la créativité et en la conscience. » STENGAH apporte des riffs qui parlent d’un élan imparable et des crochets insidieux qui pénètrent votre cœur et votre tête. « Above Inhumanity » n’est que le début. |
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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