Lorsqu’il s’agit de heavy metal moderne, peu de groupes opèrent au même niveau que Portrait. Depuis une décennie et demie, l’unité suédoise a forgé son propre chemin et, ce faisant, a insufflé de la vie à un genre bien établi depuis longtemps et l’a emmené dans de nouvelles directions. Après l’acclamé Burn The World de 2017, ils reviennent avec le puissant At One With None, qui a été enregistré aux studios JFK de Kristianstad, en Suède, avec Tommy Hansen (Helloween, Hatesphere) pour le mixage. Si les fans de Portrait reconnaîtront immédiatement qu’il s’agit de l’œuvre de leurs héros, ils ne se contentent pas de ressasser de vieilles idées et de marcher sur les traces de leurs prédécesseurs. « Une règle simple que j’ai personnellement adoptée est qu’aucune chanson écrite pour cet album et les suivants ne doit être similaire à une chanson que nous avons déjà écrite et publiée. Nous faisons cela depuis 15 ans maintenant, et je suis fier de dire que je pense que nous avons réussi à trouver notre propre identité et notre propre son, ce que l’on ne peut pas vraiment dire de beaucoup de groupes aujourd’hui. C’est notre plus grande réussite, et le but est de continuer à explorer et à développer notre propre son, sans nous répéter. » Les résultats du travail avec cette philosophie sont indéniables, ce qui en fait une addition essentielle au canon de Portrait.
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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