« Leather Terror », deuxième volet de la trilogie d’albums « Leather » de Carpenter Brut,
est disponible aujourd’hui via No Quarter Prod / Virgin Records / Universal.
Pour les médias, comme le public, son prédécesseur, « Leather Teeth »
figure parmi les meilleurs albums rock/alternatifs/électroniques sortis en 2018.
Le magazine anglais Kerrang a présenté ce « mystérieux artiste français »
comme l’un des meilleurs groupes live de la planète,
une performance qui a également été saluée à l’occasion des Metal Hammer Awards.Ces deux albums sont la bande-son d’un film d’horreur imaginaire, dont l’histoire commence en 1987.« Leather Teeth » présentait Bret Halford, un étudiant en sciences introverti, amoureux d’une fille qui ne l’aimait pas,lui préférant de loin le quarterback vedette de l’équipe de football américain du lycée.Après avoir été malmené par les coéquipiers du mec en question, lors d’une soirée organisée à ses dépens,Bret, fou de rage, tente de créer une potion censée lui permettre de tous les contrôler,mais, suite à une erreur de manipulation, il finit défiguré.
Remettant ses plans de vengeance à plus tard, il devient alors Leather Teeth,
chanteur du groupe glam rock, Leather Patrol,
qui va essayer de séduire cette jeune fille, ainsi que beaucoup d’autres.
A travers « Leather Terror » les fans vont découvrir que Leather Teeth est devenu une véritable rock star,
impitoyable et toujours aussi avide de vengeance.
Une popularité qui va permettre à Bret Halford d’infliger son châtiment à tous ceux qui se dressent entre lui et ce qu’il désire.
Alors que l’album « Leather Teeth » était en partie une célébration du glam rock des années 80,
avec les douze morceaux de ce nouvel opus, Carpenter Brut devient plus malintentionné,
documentant l’ascension du tueur en série qu’est devenu son protagoniste,
déterminé à se venger de tous ceux qui l’ont maltraité quand il était plus jeune.
Au sujet de ce second volet Carpenter Brut déclare :
« Après avoir passé une grande partie de 2018 en tournée,
j’avais décidé de faire une longue pause pour composer cette seconde partie de la trilogie.
La pandémie a confirmé que mon choix de rester à la maison était le bon.
J’ai finalement mis plus d’un an et demi pour composer cet album.
J’ai pris beaucoup de décisions grâce au temps dont je disposais,
chose que je n’aurais pas pu faire si la pandémie n’avait pas eu lieu. »
« Je voulais rendre l’ensemble aussi massif que possible.
Il n’y a pas de guitare sur cet album. J’ai tout fait avec des synthés.
Même si, au début, je ne savais pas exactement comment je voulais que l’album sonne,
je savais que je voulais qu’il soit massif et violent.»
Massif et violent, certes, mais également truffé d’invités de marque.
Outre Greg Puciato, déjà cité, sur le nouveau single « Imaginary Fire »,
on remarque « le timbre hybride assez particulier » d’Alex Westaway (Gunship)
sur « The Widow Maker », un régal de synth pop très percutant.
Ben Koller de Converge et Jonka de Tribulation apparaissent sur la chanson titre qui clôt l’histoire.
Le groupe norvégien Ulver, et Kathrine Shepard (Sylvaine) sont également de la partie
ainsi que Persha, une chanteuse parisienne qui a pris l’initiative
de contacter directement Carpenter Brut pour collaborer avec lui.
« Leather Terror » est à l’image d’un tueur en série, mais aussi d’un artiste dans la fleur de l’âge,
déterminé, toujours audacieux, parfois choquant, voire même effrayant,
mais avide de créer – quelquefois même au mépris des règles établies – à travers Sa Musique,
un flamboyant spectacle pourtant conçu à partir d’une grande obscurité.