Originaire de Winsford, ville du Cheshire située non loin de Manchester et Liverpool, The Luka State vient d’annoncer sa signature chez Shelter Records/BMG. Juste récompense pour ce jeune quatuor élevé au son des Clash et de The Jam.
Rien de plus excitant que de lancer un nouveau groupe, surtout en ces temps tourmentés et lorsqu’il s’agit d’une histoire de copains. Conrad Ellis (chant) et Sam Bell (basse) se sont rencontrés dans la MJC locale, et jouent ensemble depuis qu’ils ont douze ans. Ils font la connaissance de Jake Barnabas (batterie) lors d’un festival. A Winsford, ville minière du nord-ouest de l’Angleterre, ces gamins n’avaient guère le choix pour occuper leur temps libre. Entre jouer au football et faire de la musique, ils choisissent la seconde option, pour la plus grande joie de Lewis Pusey (guitare) qui ne tarde pas à compléter cette formation à l’ADN purement rock.
A travers l’ardeur de ses compos, The Luka State nous replonge dans l’ambiance enfumée de pubs britanniques où la bière renversée sur le sol colle aux semelles de nos Dr Martens alors que les riffs de guitare défoncent délicieusement nos oreilles.
The Luka State n’est pas la énième révélation rock dont on nous parle régulièrement. Il s’agit juste d’un groupe déterminé, pur et honnête qui s’inscrit dans la lignée de ce que la Grande-Bretagne sait nous offrir de mieux en matière de rock. Le chant rocailleux de Conrad sonne comme un rappel à l’ordre » Feel It » est le type de morceau tonitruant qui donne envie de suivre ce groupe galvanisé par l’énergie brute de sa musique.
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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