Les alchimistes suisses Zeal & Ardor sont heureux d’annoncer la sortie de leur nouvel album éponyme, prévue pour le 11 février 2022, via MVKA. Sifflant et suintant une rage justifiée de chaque pore – sans pour autant être une baston musicale implacable – l’opus de 14 titres a été enregistré par Marc Obrist et Manuel Gagneux chez Hutch Sounds et mixé et masterisé par Will Putney chez Graphic Nature Audio. Toutes les chansons ont été écrites et interprétées (à l’exception de la batterie) par le frontman Gagneux, qui parle doucement et est polyglotte, avec quelques paroles en allemand mélangées à l’anglais. Gagneux déclare : « Avec ce disque éponyme, nous sommes arrivés là où j’imaginais que ce projet devait sonner. C’est le plus long travail que nous ayons fait sur un seul album et je crois que ça se voit. La chose la plus importante pour un album comme le nôtre est de vous transporter instantanément dans notre humeur, notre monde. Même si ce n’est pas celui que vous attendez de nous, cet album est à la hauteur. Nous avons eu le temps d’affiner ce qui nous rend intéressants et les sons que nous aimerions explorer, et grâce à cela, nous avons trouvé notre maison. La maison brûle. Bienvenue à la maison ». Zeal & Ardor marquent le lancement de l’album aujourd’hui en dévoilant également le titre cinglant et impitoyable ‘Bow’, présent sur le disque éponyme. » ‘Bow’ reprend des thèmes musicaux établis et les place dans un contexte complètement différent « , ajoute Gagneux. « C’est un amalgame de choses qui vous portent malheur et vous demandent de les rejoindre ». |
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
Vous pourriez aussi aimer...
Cliquer pour commenter