Aujourd’hui, LLNN, groupe de Copenhague, dévoile un premier aperçu de leur prochain album, « Unmaker », qui sera disponible le 24 septembre. La lourdeur de LLNN ne provient pas seulement des guitares accordées à basse fréquence, du son de la basse en colère, de la batterie lente ou du tempo étouffant : c’est aussi les synthés très dominants qui évoquent la sensation et l’ambiance des films de science-fiction dystopiques et post-apocalyptiques. Ce court métrage donne un aperçu du processus de création et du design sonore du disque. Le groupe commente : « Une grande partie du synthé, du design sonore et des paysages sonores de LLNN sont initialement créés par des enregistrements sur le terrain, puis par la modulation des fichiers audio bruts en post-production. Dans ce film, nous présentons le processus de l’enregistrement sonore à l’audio final, une production qui s’est déroulée chez un forgeron en utilisant diverses machines industrielles. » Une scie circulaire à métaux a été enregistrée, transformée et modulée en post-production – et en superposant ces sons à d’autres enregistrements d’outils industriels, éloignés et lourdement traités, LLNN crée ses paysages sonores synthétiques parfois sinistres, parfois durs mais toujours cohérents sur le plan thématique. « En tant que grands fans de partitions de science-fiction classiques et de jeux vidéo, nous sommes fascinés par la façon dont le design sonore cinématographique peut évoquer certaines émotions et laisser notre imagination se déployer dans une narration abstraite. » Entrez dans la zone et préparez-vous à la précommande d’UNMAKER à partir du 12 juillet. |
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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