ORKHYS nous parle de « Blood Ties » :
« Le soleil se couche sur la plaine et des soldats rentrent chez eux après une terrible guerre. Un soldat arrive sur ses terres après des mois d’absence et voit sa ferme en feu, ses filles hurlant, sa femme pleurant, proscrite. Il comprend alors avec horreur l’abus qu’elle vient de subir. 9 mois passent et un garçon naît de l’infamie, ce garçon qu’il a toujours rêvé d’avoir. Mais c’est plus fort que lui, il ne voit dans cet enfant que le visage d’un violeur, lorsqu’il regarde ses yeux, il ne voit que les yeux plein de larmes de sa femme, lorsqu’il entend sa voix, il ne pense qu’aux cris de désespoir de sa bien-aimée, qu’au sang de meurtier qui coule dans ses veines. Il est ainsi torturé, déchiré et ne trouvera la paix que quand il comprendra la beauté des liens non pas du sang, mais de ceux du cœur.«
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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