Pendant ces mois de confinement et les restrictions qui ont suivi, l’industrie musicale ne s’est pas complètement arrêtée et de très bons albums ont vu le jour. Ce livre est naturellement dédié à ces « sacrifiés », qui ont maintenu la sortie de leur disque. Passés inaperçus ou tout simplement impossible à acheter pour certains, il est fort probable qu’on les redécouvre d’ici un, deux ou trois ans, faute d’avoir pu être défendus sur scène.– – – – –Texte de François Alaouret Préface de Francis Zégut– – – – –Format 15×21 109 pages Imprimé sur papier écologiqueAuteur (C) François Alaouret Préface (C) Francis Zégut Couverture (C) Yann Edu Frontispice (C) Antoine Bouraly |
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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