La chanteuse britannique originaire de Bristol Katy J Pearson a dévoilé hier ‘Take Back The Radio’, son dernier morceau sorti sur Heavenly Recordings/[PIAS]. Elle a collaboré ici avec Davey Newington (Boy Azooga) aux chœurs, et Laurie (Squid) à la batterie. Le morceau est accompagné d’un magnifique clip animé réalisé par l’artiste et designer Raissa Pardini.
A propos de ce titre, qui fait suite à ses deux récents singles ‘Hey You’ et ‘Tonight’, Katy J Pearson explique: « Accompagner cette chanson à voir le jour alors que nous sommes confinés me fait réfléchir à la façon dont certaines des paroles du morceau peuvent s’appliquer à la situation internationale actuelle – « and the land giving hope ». Tant de gens sortent dans leur jardin ou marchent pour rester sain d’esprit pendant cette période étrange… J’ai aussi entendu dire que les stations de radio ont eu une augmentation d’auditeurs, ce qui me pousse à penser que la sortie de cette chanson est totalement appropriée ! » Ayant récemment rejoint l’écurie Heavenly Recordings (Boy Azooga, The Orielles, Confidence Man), Katy J Pearson oscille entre country assumée à gauche et pop accrocheuse sur sa droite, toujours accompagnée de sa fidèle guitare sèche. Ecrivant avant tout pour son propre plaisir et «n’écrivant plus de chansons pour des hommes en costume, ou pour essayer de les impressionner», Katy J Pearson façonne à sa manière des riffs élastiques et des mélodies douces et entraînantes prenant racine dans sa ville natale Bristol, selon son propre temps et selon ses propres termes à l’antithèse du flou rapide, surréaliste et autocentré de Londres. À la fin de l’année dernière, elle a effectué une tournée européenne aux côtés de Cass McCombs. Elle sera de retour plus tard cette année, notamment à l’occasion des concerts de Pinegrove qui ont été reportés et dont elle assurera la première partie.
Nathalie
En premier lieu, toute personne qui fait de la musique son sujet principal d’écriture, ne peut être qu’un fan de musique. Cette personne aura été à un moment donné un obsessionnel d’un artiste en particulier. Moi, le virus m’a contaminée à l’âge de huit ans à la première écoute du titre « Liberian Girl » de Michael Jackson. L’usage de l’écriture et la musique sont des formes différentes de partage. Ma passion écrite de la musique, je la partage sur le quotidien Luxemburger Wort (version imprimée et site internet) depuis octobre 2011 et c’est grâce à eux que j’ai pu parler à des légendes comme Joe Cocker, Yes ou les Pixies. Mon plus beau souvenir restera jusqu’à présent ma rencontre avec Depeche Mode, rencontre immortalisée sur le site internet et la version imprimée du Magazine KARMA, trimestriel consacré aux musiques actuelles et distribué dans la Grande Région auquel j’ai contribué de 2013 à 2015. Je suis chez Vacarm.net depuis 2015.
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